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Ne considérez pas l’argent gagné sur le court terme comme un bénéfice!
Au lieu de penser en terme d’argent gagné ou perdu sur le court terme, c’est à dire sur une session, une semaine, un mois ou plus, inspirez-vous du monde des affaires!
En effet, dans la plupart des business, il y a une ÉNORME différence entre l’argent que vous avez en votre possession (au poker, votre bankroll), et l’argentqui est réellement gagné en tant que bénéfice (ce qui a été retiré et sécurisé à 100% sur votre compte).
Prenons un exemple concret: imaginez un magasin de vente qui offre un remboursement dans les 30 jours si le client n’est pas satisfait. Dans ce cas, le bénéfice n’est enregistré qu’une fois cette période de 30j finie, et non pas le jour de la vente! Jusqu’à ce que les 30j soient écoulés, l’argent reçu n’est pas encaissé dans les comptes, et on ne le considère pas comme un bénéfice.
Au poker, si vous croyez que dès que vous gagnez de l’argent sur le court terme, celui-ci vous appartient et qu’il est à considérer comme un bénéfice, vous faites une grave erreur et vous serez très énervé lorsque la variance vous « reprendra » ce que vous pensiez avoir gagné « pour toujours ».
Ce problème est particulièrement vrai dans les périodes de good run: pendant 100k mains par exemple, un joueur de poker peut run très good sans en être conscient. Il voit alors par exemple sur son graph’ qu’il run à 10bb/100 en NL50, et trouve ça normal, alors qu’en réalité il run good. Sur les 100k mains suivantes, s’il breakeven, il va être en énorme tilt, alors qu’il run tout simpement bad, proportionnellement à ce qu’il a run good précédemment. Sur 200k mains, son winrate sera alors de 5bb/100, ce qui est peut-être le winrate qu’il « mérite » et vaut réellement sur le long terme. Bien sûr, ceci n’est qu’un exemple, et les choses ne se passent tout le temps de façon aussi simple. Mais globalement, attendez vraiment d’avoir des centaines de milliers de mains avant de tirer un bilan sur vos gains réels!Sachez donc qu’en tant que joueur de poker il est très important de faire la différence entre l’argent gagné dans votre Bankroll, sur le court terme, et l’argent gagné en tant que bénéfice (sécurisé et mis de côté sur votre compte). Votre Bankroll va fluctuer énormément sur le court terme, c’est normal et ne vous focalisez pas dessus. Sans ça, vous ne faites que planter les graines qui feront pousser plus tard en vous la haine et la colère de la perte.
Ne cherchez pas à radicalement changer du jour au lendemain. Progressez plutôt par petits paliers, mais constamment! –
Qui dit nouvelle année, dit nouvelles résolutions, nouveaux objectifs, car nous sommes bien souvent débordant d’enthousiasme et d’énergie! Mais comme vous le savez tous, cela échoue malheureusement bien souvent!
Les joueurs de poker connaissent bien ce phénomène: en tirant le bilan de l’année 2014, nous sommes très nombreux à nous dire des trucs du style “rohlalala, si seulement j’avais fait plus de volume, si seulement j’avais moins spew aux tables en jouant en tilt, si seulement j’avais régulièrement travaillé mon jeu, etc etc…” Et comme notre motivation est au top en début d’année, on se dit alors que cette fois ÇA Y EST, cette année sera la bonne, celle où on fera enfin tout ce qu’il faut pour atteindre nos objectifs.
Le problème est que, bien souvent, on surestime totalement notre capacité à radicalement changer sur le long terme. C’est pour cela que la plupart des résolutions qu’on prend en début d’année échouent: on vise trop haut, trop rapidement, et sans réel plan d’action. Cela marche un temps, car on est plein d’énergie au début, mais lorsque cet élan de motivation s’épuise (et c’est inévitable), on retombe dans ses anciennes habitudes. Prenons un exemple concret: vous voulez augmenter votre volume. Si dans votre zone de confort vous faites actuellement 30k mains par mois, n’espérez pas subitement en faire 60k, ni même 50 ou 45k, c’est beaucoup trop ambitieux et ne tiendra pas longtemps. Au lieu de ça, essayez d’augmenter votre volume d’environ 15%, pour passer donc de 30k mains à 34.5k mains. Si vous vous sentez à l’aise après 2 ou 3 mois à ce rythme, augmentez encore d’environ 15%, pour passer alors à 40k mains par mois, etc etc…
N’oubliez pas aussi de faire votre possible pour garder cet élan de motivation, cette énergie débordante que l’on a parfois en début d’année ou lorsqu’on a vraiment envie de changer: faites attention à bien dormir, bien manger, et à faire du sport. Ces trois éléments permettent à eux seuls de vous garantir une source régulière d’énergie afin de travailler à vos objectifs! Je parlerai très prochainement de tout cela dans une vidéo mentale! wink emoticonGL tout le monde!
Pourquoi jouez-vous au poker?
Aujourd’hui j’ai bien envie de faire un petit sondage improvisé, et j’aimerai bien savoir pourquoi est-ce que vous jouez vraiment au poker? En réalité la question peut paraître un peu stupide, mais très souvent on se rend compte qu’en tentant d’y répondre, on en apprend un peu plus sur soi-même, et ses propres objectifs.
Alors, que cherchez-vous en jouant au poker? Surtout du fun, ou surtout de l’argent? Un subtil mélange des deux? Jouez-vous surtout pour l’aspect compétitif et parce que vous voulez dépasser vos limites? Encore, rêvez-vous seulement de gagner un gros tournoi?
Allez y de votre propre ressenti dans les commentaires! smile emoticon
Développez une routine et un environnement de travail structuré, afin de jouer votre meilleur poker.
Si vous observez n’importe quel athlète de haut niveau, qu’il soit amateur ou professionnel, tous ont une routine structurée.
La principale raison à cela est que cette routine structurée leur permet d’être un peu comme dans une bulle, où rien ne peut les distraire et les déconcentrer: ils sont alors dans les conditions optimales pour maximiser leur performance.Votre routine au poker doit servir le même but, et vous permettre d’être à 100% immergé dans l’action. Une fois que vous êtes dans cette bulle, les seules choses qui doivent y pénétrer sont celles qui vous aident à jouer à votre plus haut niveau de jeu. C’est ainsi que vous serez dans la zone, c’est à dire que vous jouerez votre tout meilleur poker.
Jouer dans la zone est assez facile dans des conditions idéales, et il est donc très important de protéger votre routine de toutes les activités et distractions qui compromettent votre performance. C’est pour cette raison qu’il est conseillé de fermer skype et tout autre logiciel de messagerie instantané, éteindre son téléphone, fermer facebook, et créer un environnement de grind calme, isolé et protégé de toute nuisance potentielle.
Ne confondez pas le fait de ressentir un « déclic » dans votre progression, avec le fait de parfaitement maîtriser une nouvelle compétence!
En effet, il arrive bien souvent qu’on ait l’impression d’avoir un vrai déclic, par exemple lorsqu’on regarde une vidéo ou qu’on parle avec un bon joueur: on comprend tout à coup très profondément un concept qui était très flou auparavant. Mais attention, ce déclic ne signifie absolument pas que vous MAÎTRISEZ tout à coup le concept en question; cela signifie tout simplement que quelque chose vient de se DÉBLOQUER. C’est alors l’occasion de sortir d’une période de « stagnation », de profiter de cet élan, afin d’entamer une période de progression, plus ou moins longue, afin de maîtriser le nouveau concept.
Le problème est que parfois le « déclic » est tellement puissant, et on a tellement l’impression d’avoir profondément compris quelque chose, qu’on part du principe qu’on pourra facilement appliquer ce nouveau concept aux tables. Mais, avant que ce soit le cas, il vous faudra pourtant beaucoup de travail régulier, théorique et pratique. Il vous faudra rester humble, vigilant et à attentif à toutes les erreurs que vous risquez de faire.
Si vous ne gardez pas cela en tête, lorsque vous serez sur les tables vous risquez d’être très déçu, car vous continuerez de faire des erreurs alors que vous pensiez avoir totalement résolu le problème! La progression est un processus de fond qui demande de la patience et du travail, donc ne tirez pas de conclusions hâtives, et gardez le cap! smile emoticon
Pour progresser, commencez par consolider votre jeu en améliorant votre C-game.
On peut comparer le fait de vouloir progresser au fait de vouloir construire un édifice plus haut. Si vous voulez par exemple construire une pyramide plus haute, vous avez besoin que la base de la construction soit plus large mais surtout plus solide, afin de construire par dessus.
C’est la même chose pour faire évoluer votre niveau de jeu: vous avez également besoin d’une fondation plus grande et plus solide, sur laquelle vous pouvez ajouter de nouvelles connaissances.Pour consolider la base de votre niveau de jeu, vous devez donc dans un premier temps vous attaquer à ce qui en « fissure » les fondements: votre C-GAME. Commencez alors par faire une liste de tous vos plus gros leaks mentaux et techniques, et mettez tout en haut de votre liste les 3 plus importants, c’est à dire ceux qui menacent le plus la qualité de votre jeu. C’est en travaillant en priorité sur ces 3 plus gros leaks que votre jeu s’améliorera le plus rapidement et efficacement possible, puisque vous vous débarrasserez de ce qui gangrènait les fondations de votre jeu.
Pour ma part, mes 3 plus gros leaks étaient le manque de volume, le B-game trop fréquent, et le manque de motivation. Et vous?
Souvent, on devient paresseux lorsque la structure à laquelle on était habitué disparaît subitement. Lorsque vous vivez avec vos parents, que vous allez à l’école, ou que vous travaillez pour quelqu’un, vous n’avez pas vraiment de questions à vous poser, vous êtes obliger d’accomplir votre devoir car si vous ne le faites pas, vous en payez immédiatement le prix fort (vous vous embrouillez avec vos parents, vous êtes renvoyés de l’école, ou licencié de votre travail).
L’importance de cette structure est souvent ignorée, jusqu’à ce que vous vous retrouviez complètement livré à vous-même. Maintenant vous devez faire les deux choses à la fois, c’est à dire décider de ce que vous voulez faire, et le faire. Cette tâche supplémentaire peut paraître facile à accomplir, mais cela rend pourtant le poker et la vie beaucoup plus durs, et cela nous mène ainsi bien souvent à la paresse.
Lorsque l’on commence à travailler sur notre paresse ou quelque autre autre problème de motivation que ce soit, il faut réussir à voir le poker comme si c’était un petit business que vous essayez de démarrer. Vous êtes responsable de tous les paramètres: vos horaires de jeu, les limites et les tables que vous allez jouer, quand et comment étudier votre jeu, et les gens à qui vous allez obtenir de l’aide. C’est votre responsabilité d’analyser votre technique et votre mental, et de rester à jour avec les dernières stratégies et logiciels de poker, ainsi que bien d’autres éléments indispensables pour réussir.
Une des définitions de la folie, c’est de faire constamment la même chose, en espérant obtenir des résultats différents.
Ne tombez pas dans ce piège, et si vous avez l’impression de stagner mentalement ou techniquement, alors CHANGEZ CONCRÈTEMENT ce que vous faites au quotidien, afin d’obtenir des résultats différents, et surtout positifs.
Vous êtes trop souvent en tilt? N’espérez pas que celachange si vous ne faites rien pour: travaillez votre tilt concrètement, par exemple en tenant un journal, en fisant un cool down ou en faisant du sport.
Vous êtes trop souvent weak dans les pots 3bet? Récoltez chaque semaine une dizaine de mains représentatives de ce leak, et discutez-en avec des amis que vous respectez, avec un coach, ou via un forum.
Sortez de la passivité, et changez concrètement ce que vous faites au quotidien si vous voulez changer également vos résultats au poker!Bref, stop whining, start changing! ^^
Phrase à garder en tête pour relativiser et prendre du recul lorsqu’on se prend trop de bad beats contre des fishs. N’oubliez pas que si les fishs avaient 100% du temps les résultats qu’ils méritaient, il n’y en aurait plus un seul sur les tables!
Si le poker est aussi profitable, c’est parce qu’il y a beaucoup de joueurs qui surévaluent leur niveau de jeu, et s’assoient à des tables où ils n’ont pas d’edge. Heureusement qu’ils mettent des bad beat de temps à autre en pensant avoir bien joué, car sans cela, il serait aussi profitable d’être un bon joueur de poker qu’un bon joueur d’échec (c’est à dire vraiment pas top! ;)).
Être sérieux et discipliné, ça n’est pas sensé être fun: si c’était le cas, tout le monde le serait!
Lorsqu’on découvre le poker, c’est bien souvent par pur plaisir et curiosité: autour d’une table avec des amis, ambiance bon enfant, déconnade et chambrages… À ce stade, le poker ça n’est que du fun sur le court terme, on y cherche seulement du plaisir immédiat et ce n’est qu’un loisir!
Le problème est que très rapidement, et à force de jouer, on a aussi des attentes et des objectifs sur le long terme: on veut gagner régulièrement, monter de limite, arrondir ses fins de mois, payer ses prochaines vacances ou passer pro… Mais tous ces objectifs ne sont pas faciles à atteindre, et ne viennent pas tout seul.
Clairement, si vous voulez atteindre des objectifs de la sorte, il ne faut pas voir le poker comme un simple « jeu » fun qui est une partie de plaisir 100% du temps! Il faut travailler, faire des efforts, être régulier et discipliné. Et bien évidemment, cela implique parfois de savoir mettre de côté l’aspect « fun » du poker, qui est pourtant ce qui vous a motivé à vous y mettre au départ. Cela ne signifie pas pour autant que le travail et les efforts vous dégoûteront du jeu, au contraire: c’est ce qui fera que vous serez fiers de vous une fois vos objectifs accomplis!
Le poker est un jeu génial et passionnant, mais c’est bien plus fun lorsque l’on gagne et qu’on est en progression constante, donc: au boulot!
Comme à chaque rentrée ou début d’année, je suis sûr que vous êtes une foule de joueurs de poker à vous dire: bon allez, fini les vacances et les conneries, je vais me motiver à fond pour repartir sur de bonnes bases au poker!
Et comme à chaque fois, beaucoup d’entre vous tiendront leurs bonnes résolutions pendant 2 ou 3 semaines, avant de retomber dans les anciennes mauvaises habitudes…
Pour éviter que ce soit le cas, voici quelques pistes parmi tant d’autres:
– Ne partez pas avec des objectifs trop hauts. Bien souvent, on a un coup de motivation et on se fixe des objectifs trop élevés, sans anticiper tous les obstacles qu’il y aura sur la route (manque de motivation, contretemps professionnels et personnels, peur de jouer à cause du bad run, etc…). Pour progresser, il faut y aller « Step by Step ». Déterminez donc votre point de départ, là où vous en êtes actuellement, et augmenter petit à petit vos efforts pour atteindre votre objectif.
– Entourez-vous de personnes très motivées. C’est basique, mais c’est vrai: on est plus forts à plusieurs. Le poker est un jeu très solitaire, et c’est extrêmement important d’avoir un bon groupe de travail pour se soutenir, travailler son jeu, et se sentir moins seul dans les moments difficiles.
– Sructurez votre grind. Que ce soit votre travail hors des tables, la fréquence ou la durée de vos sessions, structurer son approche est extrêmement bénéfique: cela vous évitera d’être dans le flou quant à la progression vers votre objectif. Essayez de vous faire un « emploi du temps » réaliste pour bien savoir le temps que vous avez à disposition et anticiper la façon dont vous voulez vous organiser.
Bien sûr ces conseils sont très brefs et ne vont pas comme par magie vous faire changer du tout au tout, mais j’espère que ça vous motivera! Pour aller plus loin, n’hésitez pas à regarder les vidéos mentales ou à lire les bouquins de référence…
Si vous voulez progresser au poker ou dans quelque domaine que ce soit, il faut toujours travailler à changer votre façon de voir les choses, mais aussi à changer concrètement « les choses ». Prenons un exemple pour illustrer cela:
Je suis en plein bad run depuis 2 mois, et donc au plus bas de ma forme. Ma façon de voir les choses est que je suis vraiment ultra malchanceux et que ça n’arrive qu’à moi, et je suis jaloux de voir des potes pour qui tout se passe bien. À côté de ça, je ne travaille pas mon jeu, je dors mal, ne fais pas de sport et mange de la junk food. Je me plains beaucoup, dans ma tête ou auprès de mes amis.
Or, je pourrai voir et interpréter les choses d’une toute autre façon, ce qui me donnerait de l’énergie et de la motivation pour changer concrètement mon attitude. Je pourrais me dire que, c’est vrai, je suis objectivement dans un bad run. Cependant, je ne suis pas le plus malchanceux de l’univers et ça n’arrive pas qu’à moi: en parcourant tous les forums de poker à disposition sur internet, je me rends bien compte que ce que je traverse est en réalité assez standard. En réalité, il y a surtout des joueurs qui ont traversé bien bien pire. Au lieu d’être jaloux de mes amis qui gagnent plus que moi, je suis au contraire reconnaissant de ne pas être à la place de certains joueurs qui ont traversé des bad runs absolument horribles. Et puis certes, je bad run, mais je fais aussi des tonnes d’erreurs à cause du tilt que ça engendre. De plus, je ne fais clairement pas assez de volume.
Ainsi, remotivé par cette façon de voir les choses, je peux décider de me mettre au travail quotidiennement, petit à petit et par étapes, pour changer concrètement les choses. Je décide alors de commencer par ce qui me paraît le plus simple pour moi: mieux dormir, mieux manger, et faire un peu de sport. Petit à petit, je mets en place de nouvelles habitudes, et j’évolue dans une démarche de progression constante.Ces deux exemples vous montrent bien que la manière qu’on a d’interpréter la réalité influence énormément notre motivation, qui est l’énergie nous permettant de passer à l’action pour changer concrètement les choses. Faites donc toujours attention aux petites voix dans votre tête qui vous racontent une histoire sur ce qu’est votre situation: selon le récit qui est conté, vous pouvez rester bloqué dans la résignation, la plainte et la passivité, ou au contraire vous en servir de tremplin pour être optimiste, réaliste et motivé afin d’enclencher concrètement une dynamique de changement et de progression!
Changez votre vision des choses, afin de changer les choses!
Accumuler des informations, c’est bien. Mais être dans une dynamique de changement, c’est mieux –
Lorsque vous regardez des vidéos de poker, traînez sur des forum ou lisez des livres de stratégie, vous accumulez des informations, et c’est très bien. Le gros problème est que très souvent, on BLOQUE à ce stade. 3 ans après, on a accumulé des tonnes d’informations en plus, mais les problèmes sont toujours les mêmes: on tilt quand on enchaîne trop de sessions négatives, on a du mal à remplir notre objectif de volume, et on manque de motivation.
Le but n’est donc pas d’accumuler le plus d’informations possibles, mais de changer concrètement et durablement. Si vous passez 3 ans à lire des livres expliquant comment perdre du poids mais que vous ne changez aucune de vos habitudes alimentaires, vous en serez au même stade 3 ans plus tard.
Les questions que vous devez constamment vous poser sont: Suis-je actuellement dans un dynamique de changement? Qu’est-ce que j’ai fait ce mois-ci de différent par rapport au mois dernier, et qui m’a permis de progresser de façon plus efficace? Quelle mauvaise habitude dois-je affronter, et quelle bonne habitude dois-je mettre en place?Vous pouvez ingurgiter toutes les meilleures informations du monde, celles-ci ne peuvent que vous montrer la direction à prendre. Il ne tient ensuite qu’à vous de faire le premier pas et de régulièrement marcher en gardant ce cap.
Good luck!
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