- Ce sujet contient 301 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Menako, le il y a 3 années et 11 mois.
-
AuteurMessages
-
Chapitre 4: Les choses sérieuses commencent (ou pas)!
Dans le chapitre 4, je vous avais expliqué comment j’étais enfin installé à Paris dans de bonnes conditions: un beau studio, un super pote en coloc avec moi pour partager le loyer, la motivation à bloc, et la fac de philo qui me plaisait toujours à fond sans que ça soit trop contraignant niveau horaires de cours! Pour moi les choses sérieuses commençaient… On était début Janvier 2007. Mais comme le titre le sous-entend, il s’est avéré en réalité que dans les faits, j’étais bien loin de faire les choses bien, surtout les premiers mois! En effet, en étant en coloc avec un pote, c’était difficile d’avoir des moments au calme, tranquille, soit pour bosser mon jeu soit pour grinder. Et puis, il faut le dire, on ne se gênait pas pour cumuler les apéros au pastis dès 18h, jouer aux jeux vidéos ou refaire le monde en faisant les cons! J’arrivais malgré tout à trouver quelques créneaux tranquille, mais la plupart du temps je jouais avec mon coloc à côté, et évidemment on parlait en même temps donc j’étais vraiment pas très focus! En témoigne la vidéo ci-dessous, que j’ai retrouvée dans les archives de mon disque dur, totalement epic! Je « discute poker » avec ma copine qui me rail à côté! Sick sick… Désolé pour la qualité son et vidéo, j’avais record ça avec un appareil photo numérique de l’époque…
Comme vous pouvez le voir, je suis un total fish à l’époque, je fais un bluff avec JTs et vu que ça passe je me dis que c’est bien joué, totalement result oriented!
Petit passage intéressant aussi sur le « j’ai l’impression que j’ai jamais de mains… » Enfin comme quoi, on peut vraiment partir de très bas, et progresser petit à petit! Faut dire que là, y avait vraiment de la marge de progression! Bref, j’ai passé les 3ers mois à grinder en dent de scie, mais j’arrivais malgré tout à jouer pas mal d’heures, et ma bankroll continuait de monter en Sit’n’go. J’ai d’excellents souvenirs de ces premiers mois à Paris, car on a rencontré plein de gens sympas, et c’étaient mes premières années « d’émancipation ». Je me suis même retrouvé dans une soirée avec Bouba et Greg le millionnaire, c’est vous dire la classe (2nd degré obv, ils ne font pas vraiment partie de mes idoles! ). Pour la petite histoire, c’était pas mal nawak cette soirée! Mon coloc (qui est manequin), sortait à l’époque avec Gysèle Soares qu’il avait rencontré à l’île de la tentation (wtf!). Du coup cette Gysèle connaissait vaguement des « gens », et pour sa pendaison de crémaillère certaines « personnalités » étaient là… Je me rappellerai toujours du moment où j’ai entendu Bouba dire à son pote « non mais vazy Diams elle m’a trop soulé » et chais pas trop quoi après, j’ai pas entendu la suite. J’avais grave envie de troller Bouba mais pour ceux qui me connaissent, niveau gabarit c’est un poil risqué… Même si je suis ceinture verte-jaune au Judo, le move consistant à aller taquinner Booba ne me paraissait pas très EV+ . J’ai fait des rencontres heureusement moins superficielles, notamment plein d’étudiants en philo vraiment géniaux, c’était super de pouvoir parler avec toutes ces nouvelles personnes de plein de sujets qui me passionnent!
BREF c’était un peu le boxon cette période, mais c’était bien tripant de faire un peu n’importe quoi sans penser à l’avenir! Justement en parlant d’avenir, vous verrez dans les prochains chapitres qu’il m’a fallu retomber les pieds sur terre, et l’attérissage fût un peu violent…Quoiqu’il en soit, en Avril 2007 les choses avancèrent pas mal niveau poker: j’avais découvert Club Poker et même si je lurkais (c’est à dire que je lisais le forum sans participer), j’avais pris conscience de pleins de concepts basiques mais fondamentaux au poker. Aussi, j’avais découverts mes deux premiers gros potes Poker: Harri & Loïc. Mon niveau a littéralement explosé à ce moment-là (n’oubliez pas que je partais de très, très bas! ). C’est aussi à ce moment que j’ai découvert le site de Sngicons, qui cartonnait à l’époque avec le top des coachs en SnG. C’est à partir de ce moment que j’ai compris plusieurs choses:
– On peut vraiment gagner beaucoup d’argent avec le poker sur le long terme, en appliquant une stratégie EV+
– Il y a beaucoup de variance, et c’est normal d’avoir de gros swings
– Les trackers sont des logiciels puissants permettant de bosser notre jeu, et d’analyser nos résultats
– Le multitabling est indispensable pour tout joueur pro online
– Il y a des notions techniques et mathématiques indispensables (ranges d’open, cotes, Cbet, equity, EV, implied odds, 3bet light, etc…)
– Il faut avoir une bonne bankroll pour affronter l’avenirLà les choses sont allées assez vite. J’étais vraiment passionné à ce moment-là, et je pensais tout le temps au poker. J’en rêvais, je me réveillais avec l’envie de jouer, j’adorais parler poker avec Harri et Loïc… Je dévorais les vidéos de SnG icons et je rêvais de gagner ne serait-ce que le quart de leurs gains: les coachs fieryjustice ou bigjoe faisaient des mois à 10-15k$. Comme j’arrivais très vaguement à gagner avant de découvrir tout ça, le fait de faire les choses sérieusement m’a pas mal fait décoller. Je tenais un journal de bord (l’ancêtre du Poker Doc), et ça m’aidait à structurer mon approche du jeu, à définir des axes de progression, et à passer à autre chose après mes sessions.
J’ai aussi fait mon premier bootcamp à cette époque (Juillet 2007) ! Harri était passé sur Paris avec un autre pote à moi, et on a passé environ 10j à ne faire que jouer au poker, enfermés dans mon studio, environ 10h par jour. Je me rappelle que je n’arrivais pas à m’arrêter de jouer, j’étais avide de monter ma bankroll et de progresser! Je n’ai plus jamais eu autant de facilité à faire du volume qu’à cette époque! La raison à cela est tout d’abord que ma motivation était à 2000% car je venais à peine de comprendre qu’il était tout à fait possible de vivre du poker en ligne. Ensuite, je n’étais pas du tout en mode « pro ». Mes parents m’aidaient encore pour payer le loyer, et je donnais des cours particuliers. Je ne touchais jamais à ma bankroll poker pour justement la faire monter le plus haut possible, et je ne dépendais donc absolument pas du poker pour vivre.Tout se passait bien, et entre Février 2007 et Septembre 2007, ma bankroll était passée d’environ 650$ à 2800$. J’étais passé du 1-Tabling sur des SnG à 5$, à du 9-Tabling sur des SnG à 20$. J’étais « habitué » à swing 500$ en quelques jours. Bien sûr je n’étais pas un bon joueur, mais j’étais suffisamment bon pour vraiment battre ma limite sur un sample raisonnable d’environ 5000 sit’n’go. J’avais une bankroll correcte, la rage d’aller plus loin, et je maîtriser les notions les plus élémentaires du poker. J’étais entouré de bons joueurs eux aussi motivés, et j’avais enfin atteint mon premier « but » poker: je gagnais ~10$ / h quand je jouais au poker. Il était temps de passer à la vitesse supérieure, et c’est là que je me mis de nouveau au cash game et que les choses prirent une toute autre tournure!
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 10 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 9 mois par Pe4nuts.
vraiment un plaisir à lire…
J’ ai que 2 minutes de vidéo sur les 45, je ne sais pas si c est normal.
ET sinon, t’avais pas d’autres babes que booba et greg le millionnaire à montrer ??
J’ ai que 2 minutes de vidéo sur les 45, je ne sais pas si c est normal.
Yep c’est un bug de l’ancienne vidéo, je vais edit ça sur Youtube! ^^
ET sinon, t’avais pas d’autres babes que booba et greg le millionnaire à montrer ??
Sisi voilà une photo de Gysèle en mode retouche super cheap haha:
Sisi voilà une photo de Gysèle en mode retouche super cheap haha:
J’ai liké quand même
Cool cette vidéo ou tu te plains que tu touches rien lol.
Ca peut qu’encourager tout le monde qu’avec du BOULOT…. Ca peut le faire.
- Région Parisienne mais à Marseille fin 2018, France
- Inscrit depuis 11 ans
- 579 messages - 90
Put*** je sens que j’ai fait une connerie en publiant cette vidéo d’il y a 10 ans, jamais malin de sortir des vieux dossiers!
Vraiment super, je suis à fond dans l’histoire j’ai hâte de connaître la suite! Et dis moi tu pourrais nous dire (à peu près) le rythme auquel tu jouais à l’époque? et sur combien de tables?
N’empeche faute de mieux je valide le sopalin c’est tellement Ev+ de grinder les couilles vides
Super blog vivement la suite !
Chapitre 5: Du sit’n’go au Cash Game: la transition clé!
Ça y est. J’avais atteint un premier gros « cap » psychologique, pour ma part du moins c’était vécu comme tel! À peine plus d’un an et demi après avoir découvert le poker, j’étais passé du débutant complet qui captait rien du tout à ce jeu, au joueur qui avait quelques notions, travaillait son jeu, savait grinder 8h/jour, et était motivé à bloc. Surtout, ma Bankroll était passée de 10$ à 2800$, et j’avais atteint un premier objectif très important à mes yeux: je gagnais 10-15$ / h en jouant au poker, soit plus ou moins le SMIC horaire. C’était un peu un « rêve » lorsque j’avais fait mon premier dépôt à l’époque… Cependant soyons très clairs: je n’étais pas bon. Je pense même que j’ai longtemps eu un problème de confiance au poker: je me sous estimais constamment, j’avais tout le temps peur de perdre plusieurs buy-ins… Pourtant, la réalité était là: si je voulais aller plus loin (et dieu que je le voulais!!), il fallait que je passe à la vitesse supérieure: Le Cash Game. Je tiens aussi à préciser que ce que je décris là n’était possible que parce que le niveau était très faible à l’époque. Il est toujours possible d’avoir une telle progression en un an de nos jours mais c’est plus rare: il faut fournir plus d’efforts, plus travailler son jeu, être plus carré… Mais l’un dans l’autre, il y a aussi infiniment plus de ressources pour progresser de nos jours, même si le niveau est plus dur! J’ai quand même pas mal d’exemples de membres KT et potes qui ont tout à fait réussi en 1-2 ans à s’installer en NL10 ou en NL30 avec un bon winrate et une bankroll de 2000€+, donc pas d’excuses!
Mais revenons à mon histoire de l’époque: Je vous ai parlé dans les chapitres précédents de deux très bons potes qui m’ont énormément aidé à mes débuts (et même après): Harri et Loïc. Au tout début je ne connaissais que Harri que j’avais rencontré via le forum Club Poker, et celui-ci m’avait fait découvrir le site de coaching en Sit’n’go SnGIcons: une révélation! On avait beaucoup grind ensemble ce format. Mais début Septembre 2007, tout change: Harri découvre le cash game et m’en parle comme d’un nouvel eldorado. « Il y a beaucoup plus à gagner qu’en sit’n’go! » me dit-il en trépignant d’excitation! « Si tu voyais les tables, il y a des fishs énormes qui font n’importe quoi, parfois il y en a 3, même 4 à la table, c’est incroyable! » Vous l’aurez compris: mon cerveau s’était recâblé dans l’instant pour jouer en cash game.
Je me rappelle d’une phrase qui m’avait vachement marquée parce qu’à l’époque je trouvais ça incroyable… En effet, Harri me parlait donc de stratégie en Cash Game, et il me disait que c’était vraiment différent du Sit’n’go, qu’on jouait beaucoup plus de mains, et qu’on pouvait se permettre de relancer de mauvaises mains UTG par exemple. C’était l’avantage de passer du Full-Ring au 6-max. Il avait lu des posts de ManuB à l’époque sur le Club Poker, et il m’a dit, comme une découverte « magique » : « C’est génial! Tu vois, ce qu’il fait ManuB, c’est qu’il relance TOUTES les mains qu’il joue, il ne limp jamais! Du coup quand il relance il peut aussi bien avoir une paire d’As que 78s ou KJ, et l’adversaire ne peut pas du tout deviner sa main du coup! » Le simple fait d’écrire ces lignes me remplit de honte, mais à l’époque c’était un peu une révélation. Tout comme le 3bet light le fût aussi: tous les joueurs de poker qui ont connu ce jeu en 2006-2007 pourront en témoigner: Open, Cbet ou 3bet « en bluff » avec rien, c’était vraiment une « technique » un peu magique. Car en effet, en cash game, il y avait énormément de gens qui jouaient un poker basiquissime: les joueurs misaient en fonction de la force de leur main, et la plupart n’osaient quasiment jamais bluffer. Aujourd’hui, personne ne considère le Cbet comme un « bluff », mais pourtant à l’époque miser au flop alors qu’on n’a rien touché était déjà une line « agressive » en NL25…Bref, je vous la fais rapide: j’ai été incroyablement conquis et enthousiasmé par le lobbying intense de mon pote Harri pour le Cash Game. Ni une ni deux, je dépose alors toute ma Bankroll de 2 800$ sur une toute nouvelle room pour m’asseoir sur 4 tables de NL25 les jours qui suivent. Et les choses se passent bien dès le début. Je run good, et le niveau est déplorable. D-É-P-L-O-R-A-B-L-E!!! Je regrette de ne pas avoir filmé de vidéos à l’époque pour vous apporter la preuve, mais en gros j’avais 100% du temps au moins 2 fishs par table de style 54/9, passifs et Calling station, le rêve… Et parfois c’était 3-4 fishs à la table, c’était incroyable… Et il faut savoir que les « regs » qui étaient à côté n’étaient pas du genre « chiants à jouer » avec 3bet light, 4bet light, floating et compagnie hein! Entre « regs » on ne se livrait presque aucune bataille: on avait tellement d’argent à faire sur les fishs, qu’on ne se jouait quasiment pas… Bien évidemment je n’avais pas du tout le niveau pour bien exploiter de façon optimale ce field incroyable, mais ça suffisait… J’exagère un peu, mais globalement il suffisait de jouer tight voire nit, attendre ses AA / KK, les brelans et autres mains nutsés, et laisser les fishs s’empaler dessus avec leur top paire.
Ce premier mois de cash game en NL25 se passe parfaitement bien, je prends 800$ soit 32 buy-ins. Les choses bouillonnent dans ma tête. Je commence à me dire qu’il y a quelque chose à aller chercher… Problème: je suis encore à la FAC a priori, et c’est la rentrée pour le MASTER 2 en Philosophie Politique. Je me rappellerai toujours de la scène que je vais vous décrire ci-dessous, car c’était très intense, et que ma « vie » a un peu basculé à ce moment-là…Un de mes meilleurs potes dormait chez moi, et je lui parlais de tout ça, que j’étais certain qu’il était possible de gagner sa vie en jouant au poker, et que j’hésitais presque à tenter de m’y mettre à fond 1 an pour monter un bankroll… Je lui disais que la fac de philo j’adorais, mais que je ne voyais aucune perspective professionnelle excitante: je n’avais pas envie de passer le CAPES pour enseigner la philo à des gamins de Terminale qui n’en ont rien à faire et n’écouteront même pas le cours… Et en philosophie, difficile de trouver un autre débouché que prof’. Du coup je lui ai dis: « Franchement t’en penses quoi si jamais cette année je vais pas en MASTER 2, et à la place je joue 6h par jour minimum au poker, tout en donnant des cours particuliers pour assurer le coup financièrement? » Il m’a répondu: « Bah franchement grave, tente-le, t’as rien à perdre! » Et en une fraction de seconde, ma décision fût prise: je n’irai pas à la FAC cette année, et je tenterai de monter une bankroll d’au moins 10 000$ tout en donnant des cours particuliers pour assurer le coup et ne pas cashout de ma bankroll. Et si j’atteins au moins 10 000$ de Bankroll, je tenterai de vivre du poker une année entière et à 100%, sans autre source de revenus.
C’était à la fois très stressant, mais extrêmement excitant et stimulant. Pour la première fois de ma vie, j’avais l’impression d’être 100% libre dans ma vie, mais d’être aussi du coup à 100% responsable de ce qui allait se passer… Dans le prochain billet, je vais vous raconter ce que tout ça a impliqué: des moments de joie et d’euphorie intenses, mais aussi des boules au ventre et des angoisses pas possibles. On était fin Octobre 2007, et si j’avais su ce que j’allais devoir traverser, j’aurai peut-être jeté l’éponge!
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 9 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 9 mois par Pe4nuts.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 9 mois par Pe4nuts.
- Région Parisienne mais à Marseille fin 2018, France
- Inscrit depuis 11 ans
- 579 messages - 90
Quand je vois déjà l’état d’excitation dans lequel je suis quand je passe d’une limite à la suivante (avec la BR et le WR requis), j’imagine à peine comment tu devais te sentir en te lançant dans cette aventure…
« Si tu voyais les tables, il y a des fishs énormes qui font n’importe quoi, parfois il y en a 3, même 4 à la table, c’est incroyable! »
Que j’aimerais être dans ces années là ! ? ?
Quand je vois déjà l’état d’excitation dans lequel je suis quand je passe d’une limite à la suivante (avec la BR et le WR requis), j’imagine à peine comment tu devais te sentir en te lançant dans cette aventure…
Ah bah laisse tomber j’étais totalement à fond, les émotions au maximum, la méditation ça existait pas pour moi à l’époque! J’étais du genre super excité à constamment faire l’ascenseur émotionnel!
« Si tu voyais les tables, il y a des fishs énormes qui font n’importe quoi, parfois il y en a 3, même 4 à la table, c’est incroyable! » Que j’aimerais être dans ces années là ! ? ?
T’imagine même pas, c’était tellement magique. Et je ne réalisais pas à l’époque, sinon j’en aurai vraiment 10 fois plus profité!
Je me rappele j’ai du commencer en 2009/2010 aussi et c’est vrai que le niveau ça avait rien à voir avec aujourd’hui quand les SNG tournaient a fond j’arrvais à me faire quelques $ assez facilment mais ça c’etait avant
Vraiment intéressante ton histoire Pe4nuts. Je trouve que de raconter cela est très formateur pour toutes celles et ceux qui souhaitent se lancer dans le poker, même pour le fun. J’ai longuement joué sans avoir participé aux forums à l’époque du .com et n’ai jamais possédé le niveau technique ni la volonté depuis le .fr pour « passer » au CG.
Ce n’est qu’en revenant sur KT que j’ai redécouvert le poker. Lire ton ebook a été pour moi une révélation étant donné que je souhaitais me créer un revenu de complément, ayant un travail à côté et souhaitant joindre l’agréable (le poker) à l’utile (jouer gagnant). Aujourd’hui, grâce à tes conseils et à KT, je me sens enfin un joueur de cash. J’ai beaucoup de travail pour progresser à faire, mais je joue avec un but maintenant. Merci
J’ai hâte de lire la suite de ton histoire. Continues s’il te plait !
@Loic: Bien content d’avoir pu t’aider! Mais tu vas voir mon parcours n’est pas du tout un exemple loin de là: j’ai fait presque toutes les erreurs inimaginables (sauf peut-être le BRM au début), et j’ai du apprendre lourdement et lentement de mes erreurs! Ça va se corser dans les chapitres à venir!
Justement, c’était ce que je voulais dire. Tu nous a déjà prévenu dans ton dernier épisode et tous les joueurs de poker subissent les foudres d’être ‘broke’, de perdre énorme… En ce sens, c’est un exemple par ce qu’en laissant les novices découvrir ton parcours, ils vont pouvoir se forger l’esprit
-
AuteurMessages
Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.