- Ce sujet contient 301 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Menako, le il y a 3 années et 11 mois.
-
AuteurMessages
-
Chapitre 2: Learn to Fail or Fail to Learn
La semaine dernière je vous laissais à la fin du premier épisode de ce blog sur mes 134$ accumulés lors de ma première semaine de grind ever! Parti de 10€ soit ~12$, j’avais bien évidemment des étoiles dans les yeux, et je me voyais déjà continuer sur cette lancée! Je trouvais absolument incroyable de pouvoir gagner de l’argent en jouant à un jeu de stratégie. Pour moi, le poker n’était vraiment ni plus ni moins qu’un jeu vidéo de stratégie en ligne (c’est toujours le cas d’ailleurs). J’abordais le poker de la même façon que lorsque je jouais à Counter Strike ou Starcraft. Sauf qu’en plus, lorsque je gagnais, je gagnais de l’argent: totalement incroyable! Il faut bien se rappeler qu’à l’époque, le poker en ligne n’était absolument pas connu en France, c’était vraiment les tous premiers balbutiements! Je me rappelle que lorsque j’en parlais à mes potes à la Fac ou dans mon entourage, tout le monde hallucinait un peu. Je voyais bien dans le regard des gens qu’ils se disaient quelque chose du style « ah lala il me fait bien marrer Simon avec son poker, mais c’est qu’un jeu de hasard il ne pourra jamais véritablement gagner de l’argent. » Et puis bon, à l’époque, il faut bien avouer que mon style de vie et mon attitude ne m’aidaient pas spécialement à être pris au sérieux! Étudiant de philosophie à la fac’, qui passe son temps à jouer aux jeux vidéos ou au poker, et à faire des soirées avec les potes jusqu’à pas d’heure…
Bref, j’accrochais à fond au poker, mais les semaines suivantes, tout ne fût pas aussi rose que la première. A force de jouer comme un fish et de faire n’importe quoi, ça finit toujours mal… Après quelques semaines de poker donc, mon pic de gains avait était à 134$ dès la première semaine, mais j’étais retombé à ~85$. Je me rappelle très bien du montant car c’est ce que j’ai mis sur la table, full bankroll, en NL100. Sisi, je vous jure, l’erreur classique de gros fish, je l’ai faite!
Il était 5h du matin et j’avais passé toute la nuit pour finir une dissertation de philo. J’étais assez content du résultat, et je me suis dit que de toute façon je n’allais pas dormir seulement quelques heures pour aller finalement en cours à 9h du matin. Et là idée « géniale »: « Oh tiens, si je me faisais un petit poker! » Ça faisait quelques jours que je perdais en NL4 et j’en avais marre de jouer aussi « petit ». J’avais observé pas mal de tables en NL50 et en NL100, et je trouvais ça génial: là au moins quand on gagnait une cave, on avait de quoi se faire kiffer! Ce à quoi je n’avais pas trop pensé à ce moment-là, c’est que lorsqu’on perdait une cave à ces limites, on perdait aussi quelque chose de conséquent. Et ça fait pas kiffer. En l’occurence et pour moi, ça revenait à perdre l’intégralité de ma maigre bankroll. Mais bon, je me croyais bien au-dessus du lot, et je sentais que ça allait bien se passer. Je ne connaissais pas les règles de bankroll management et la variance même si j’en avais une vague intuition… Mais de toute façon, si quelqu’un avait essayé de me raisonner à ce moment-là, je ne l’aurai pas écouté. Parfois, on a besoin de se prendre le mur en plein dans la gueule, tout seul, en suivant sa bêtise jusqu’à bout. Et ça n’est qu’après coup qu’on peut rebondir pour mieux avancer.Animé par une témérité aveugle, je me suis donc assis à une table de NL100 6-max, où un seul joueur était à la table avec ~100$ devant lui. J’ai mis toute ma bankroll soit 85$, et j’ai commencé à jouer. Dans les 2 ou 3 premières mains, j’ai fait une énorme bluff river à tapis, et c’est passé. J’avais le coeur qui battait comme jamais, une adrénaline de folie, c’était vraiment incroyable! C’est impossible à décrire quand on ne joue pas au poker, mais vous tous savez bien ce dont je parle: une intensité émotionnelle absolument énorme, qui nous fait « nous sentir en vie », vibrer…
Et puis ce qui devait arriver arriva. Seulement 3-4 mains plus tard, je me retrouve de nouveau à tapis en plein bluff. Mais cette fois, je suis payé, je vois toute ma bankroll partir dans les mains de mon adversaire et je me sens absolument vide. Défait. Choqué. Je me rappelle vraiment de cet état là, car je l’ai rarement ressenti dans ma vie. Je n’étais pas du tout en tilt mais vraiment « vide », abasourdi. En mode « What the fuck just happenned?!« . Je crois qu’à l’époque je n’avais pas réalisé que oui, quand on joue full bankroll, qu’on bluff et qu’on perd, toute notre bankroll y passe. Ainsi que toutes les heures de grind précédentes qui avaient permis de monter, petit à petit. Et du coup ben on se retrouve à 0, et c’est choquant… En tout cas moi ça m’a vraiment choqué! J’étais vraiment étonné d’avoir fait quelque chose d’aussi stupide! L’émotion de colère envers moi-même ou de frustration que j’aurai pu ressentir était insignifiante par rapport à l’immense émotion d’étonnement et de honte vis à vis de ce que je venais de faire. 3-4 semaines de grinds et environ 60h de jeu envolées en même pas 10 mains. En 3 minutes. Wtf…Je ne sais plus trop ce que j’ai fait ensuite, mais j’ai du aller me faire une partie de starcraft ou autre, et je suis allé à la Fac. Comme dit plus haut je n’étais pas en tilt mais vraiment abasourdi, et j’avais un peu honte. Je m’en voulais d’avoir été aussi stupide en fait, je n’en revenais pas. Comment était-ce possible de faire une erreur pareille, aussi grossière? Mon ego en avait pris un gros coup, et c’était tant mieux. J’ai passé la journée à réfléchir à tout ça en nuit blanche, et j’ai du laisser couler quelques jours ensuite, je ne me rappelle plus très bien des détails. Ce dont je me souviens très bien c’est qu’au bout de quelques jours je me suis dit quelque chose du style: « Bon ok Simon tu as merdé, c’est pas grave. Je vais pas perdre mon temps à redéposer 10$ et espérer remonter jusqu’à 100$, j’ai pas la motivation. Je vais déposer 100$, et à partir de là, je ne redéposerai plus jamais un centime sur les sites de poker si je perds tout. » À l’époque j’avais beau être étudiant, je vivais chez mes parents. 100$ c’était environ 75€ donc pas non plus la mer à boire. Je donnais des cours particuliers de Maths et je bossais 1 fois par semaine au marché, donc c’était plus ou moins ce que je gagnais en une semaine.
La leçon m’a donc coûté 85$, mais elle en valait le coup! À partir de ce moment-là, j’ai fait très attention à ma bankroll. Je n’ai pas immédiatement appris le concept de « Bankroll management » de façon théorique, mais je l’appliquais sans le savoir. Car le bankroll management, je l’avais appris de façon violente et émotionnelle: en voyant ma bankroll voler en éclat en 3min. J’ai donc continué à faire un peu de cash game, mais je me suis rapidement mis aux Sit’n’go: le niveau était encore plus catastrophique qu’en cash game, et en jouant 1 ou 2 tables à la fois, il n’y avait pas beaucoup de variance. De plus, on pouvait faire des SnG à 1$, soit 1% de ma bankroll, ce qui me rassurait vraiment quant au risque de potentiellement tout reperdre. En jouant aussi sérieusement qu’il m’était possible de le faire à l’époque j’ai pu m’en sortir et monter petit à petit une bankroll de 500$, en environ 8 mois de grind. À cette époque je ne passais que très peu de temps à lire de la stratégie poker. Tout le temps que je consacrais, c’était du grind. Je lisais bien sûr de temps à autre un petit article, un petit tableau de statistiques ou autre, mais pas grand chose. Le niveau était littéralement déplorable, donc ça suffisait à avoir un petit edge.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce cap de 500$ signifiait vraiment quelque chose pour moi, ça paraissait très concret. Je me disais: « ok, si y a moyen de gagner 500$ à ce jeu, en s’y prenant beaucoup mieux et en devenant meilleur, y a peut-être moyen de gagner bien plus… » Je vous raconterai dans le prochain épisode comment j’ai commencé à réellement prendre le poker au sérieux et ce qui m’a aidé à faire un peu décoller tout ça…
Cya!
C’est vraiment un plaisirs de te lire ! Vivement le prochaine épisode !!!
Héhé thx, je prends un pied fou à écrire aussi, ça fait putain de longtemps! Je viens de finir justement l’écriture du prochain épisode pour la semaine prochaine…
Merci pour cette nouvelle épisode personnelle.
C’est rassurant de voir que nous sommes tous passé par là….. mais ensuite la deuxième étape doit être ‘la prise de conscience’
Et oui comme toute chose,’il va falloir travailler et se donner un cadre de grind,.
et alors là c’est autre chose.
Parfois, la prise de conscience se fait vite, voire lentement ; mais se fait. Et parfois, elle ne se fera jamais ….
On attend l’épisode III
Salut P4enuts,
Un plaisir de lire tes débuts au poker, on attend la suite jusqu’au crush de la Nl100 !
Keep going.
Salut P4enuts, Un plaisir de lire tes débuts au poker, on attend la suite jusqu’au crush de la Nl100 ! Keep going.
NL200!
Enfin ça a mis plus longtemps que la NL100 par contre, et la NL200 de l’époque était sooo soft!
Chapitre 3: Le départ à Paris
Dans le Chapitre 2, je vous avais laissé sur mon premier gros cap psychologique franchi avec 500$ de bankroll atteint. Quelques mois plus tard, je me retrouvais à quitter ma ville natale, Nice, pour aller continuer mes études de philosophie à Paris. Je m’inscrivais donc en MASTER 1 de Philosophie Politique à l’Université Paris IV, à la Sorbonne (putain comme ça claque d’écrire ça!). Même si j’adorais le poker, j’adorais encore plus la philosophie. C’est d’ailleurs encore le cas je crois! Cette période étudiante m’a vraiment énormément marqué, et beaucoup apporté… J’y ai développé des compétences qui sont vraiment essentielles pour mon propre bonheur: l’esprit critique, l’ouverture d’esprit, l’articulation logique des idées, et bien évidemment plein de concepts et thématiques que je n’aurai jamais pu découvrir sans la philosophie! Par exemple, lorsque j’ai écrit il y a quelques semaines l’article « Changer ce qui dépend de nous et accepter sereinement le reste« , c’est directement inspiré de l’étude des philosophes stoïciens, qui insistaient beaucoup sur l’importance de savoir distinguer entre les choses qui dépendent de nous et celles qui n’en dépendent pas. Quand j’ai pris de gros risques dans ma vie, j’étais rassuré par Nietzsche qui disait qu’ « il faut vivre dangereusement« . Et quand je pense encore aujourd’hui à l’avenir, j’essaie de me rappeler la sagesse de Spinoza et son amour pour la béatitude (le fait d’être aussi heureux que possible), qui est selon lui le souverain bien en ce bas monde!
Bref, je sais bien que la plupart d’entre vous voient la philosophie comme quelque chose de ringard, inutile, ou au mieux « sympa deux minutes mais un peu ennuyeux. » Je ne vais donc pas trop développer ici, mais je continue de penser que notre monde manque cruellement de sagesse et de raison, et que réhabiliter comme il se doit la philosophie pourrait grandement aider à redresser un peu la barre… Allez qu’importe, revenons au poker! En partant à Paris, j’étais bien évidemment le cliché parfait du bon étudiant bien brokish. Fort heureusement, mes parents m’aidaient financièrement histoire de me payer un petit loyer, mais c’est tout! Heureusement j’avais des APL pour me payer la bouffe, et les cours particulier pour le reste… Mais vous l’aurez deviné, mon plan était de faire rentrer de l’argent avec le poker! J’avais beau être motivé à fond, j’étais aussi réaliste: je n’étais pas du tout au stade de prétendre pouvoir gagner 200-300€ / mois avec le poker, donc je me fixais juste comme objectif de monter ma bankroll petit à petit, et voir si justement j’arrivais à avoir un gain horaire d’au moins 10$ avec le poker.
Comme tout cela était encore loin, il faut en venir à la triste réalité: avec le petit budget que j’avais, c’était bien difficile de trouver des studios corrects! J’ai d’abord fait une coloc de 3 mois avec un de mes meilleurs potes, dans son studio de 25m² rue Lecourbe. Je dormais par terre sur un futon, et tout se passait très bien mais ce n’était pas tenable long terme… J’ai donc trouvé un premier « plan », mais qui s’est avéré désastreux, jugez par vous-même:Alors première chose: oui si vous voulez, vous pouvez faire la blague sur le rouleau de sopalin qui est sur la photo, c’est un classique toujours bon à noter. Bien sûr maintenant que j’en ai parlé ce sera beaucoup moins drôle donc à vous de voir ! Deuxième chose comme vous pouvez le voir: c’est vraiment la loose! En fait ce plan studio était un « tuyau » filé par mon voisin de palier de l’époque à Nice. C’était une coloc dans un appart’ à 3, où on avait chacun une « chambre ». La mienne était dans un état si déplorable que j’ai arraché la moquette, et qu’on a repeint les murs avec le proprio. Mais même après ça, c’était dur de se réveiller sans ressentir une violente vague de dépression arriver! Il faisait toujours froid dans la chambre déjà car on était à Paris en Novembre, et ensuite parce que le proprio était ulra radin. Il n’allumait le radiateur que pendant les heures creuses de 23h à 6h du matin, l’enfer! On avait une Livebox pour l’adsl qui traînait par terre dans le couloir, une salle de bain avec un carrelage si froid que ça transformait mes doigts de pieds en Mr. Freeze quand je marchais, et comble de tout ça… Le proprio venait utiliser nos toilettes pour la « grosse comission » chez nous parce que dans son appart’ (qui était sur le palier à côté) les WC ne marchaient plus. Il n’y avait pas non plus de cuisine, donc je vous raconte pas le bordel pour se faire ne serait-ce qu’un plat de pâtes… Je faisais cuire le tout sur une mini plaque électrique, et faisait la vaiselle dans le lavabo. Quand j’y repense je me demande comment j’ai pu tenir 2 mois et demi dans ces conditions. Surtout qu’à l’époque je faisais des Sit’n’go 6max en lisant Poker Cadillac de François Montmirel, et ses conseils me tiltaient totalement. Je m’efforçais d’appliquer sa stratégie en SnG mais je sentais bien que ça ne marchait pas! Je me disais « ouais mais c’est un pro, suis ses conseils »… Et après 2 semaines ma façon de jouer était devenue tellement horrible que j’ai totalement envoyer péter tous ses conseils, pour rejouer à ma façon, en essayant moi-même de trouver mes propres erreurs et de les corriger. S’il y avait quelques conseils ultra basiques sur les statistiques ou autre, dès que ça parlait vraiment stratégie poker, ce bouquin était déjà dépassé à son époque. Bref, j’avais atteint le point de rupture: le seul endroit où j’étais bien, c’était à la fac de philo ou en soirée! Dès que je rentrais dans ma chambre pourrie et/ou que je jouais au poker, c’était le tilt!
Je me rappelle de la scène comme si c’était hier: après plusieurs jours à râler sur la précarité de cette chambre et à me rendre compte que j’étais pas du tout heureux dans ces conditions de vie, je me suis tout simplement tiré de « la grotte », comme on l’appelait pour se marrer avec mes potes et ma copine! Le proprio faisait tout au black sans caution, profitait d’étudiants sans le sou pour louer un appart’ dans des conditions déplorables, et venait utiliser nos toilettes en ouvrant la porte sans frapper, donc je n’ai eu aucun scrupules… Je suis retourné chez mon pote avec qui j’avais fait 3 mois de coloc pour cette fois 3 semaines, le temps de trouver un autre appart’ bien mieux, vers Alésia (14ème arrondissement). Là c’était le jour et la nuit! Certes je payais plus cher, 650€ / mois, mais l’appart’ était refait à neuf, 32 m² avec une grande chambre, petite cuisine / couloir séparé, et petite salle de bain séparée. Les nuts total pour un étudiant qui vit la bohème à Paris! Qui plus est, 2 mois après un de mes meilleurs potes est arrivé sur Paris et on a fait une coloc pendant 6 mois, ce qui a sensiblement allégé mon loyer! Bref: j’étais enfin calé!
C’est là que tout a enfin pu « sérieusement » commencer. Par « sérieusement », je veux dire que j’avais vraiment de réelles ambitions au poker. Je voulais à tout prix que le poker me rapporte au moins autant que mes cours particuliers que je donnais sur Paris, soit 15€ / h. Je voulais prendre mon temps et y aller étape par étape, et d’abbord monter une vraie bankroll solide d’au moins 2000 ou 3000$ pour grind pour grind des NL10-NL25 , et « après on verra ». C’était mon « plan » de l’époque! Je savais qu’avant de me fixer pour objectif de gagner 15€ / h, il me fallait au moins 3 éléments:1. Être capable de jouer des heures entières au poker en étant concentré et motivé
2. Avoir une bankroll permettant d’encaisser des swings
3. Avoir une bonne expérience et maîtriser non seulement les concepts techniques de base, mais aussi les concepts avancés (donc apprendre des meilleurs)Tout était en place et je n’avais plus d’excuses: j’avais un bon appart’ et un beau setup de grind, des potes, ma copine qui me soutenait, et les cours à la FAC ne me prenaient pas plus de 15-20h par semaine. C’était le moment d’y aller à fond mais ça, c’est une histoire que je vous raconterai dans le prochain épisode! Mais c’est là que tout va commencer en mode « à fond »!
je parlerais pas du sopalin, mais on comprend que tu aies eu envie de te tailler les veines avec le cutter jaune sur le lit.
Sinon vivement la suite
on comprend que tu aies eu envie de te tailler les veines avec le cutter jaune sur le lit.
haha non c’était pas à ce stade quand même, heureusement!
Le cutter jaune venait de servir pour arracher la moquette désastreuse qu’il y avait juste avant!
Bref, je sais bien que la plupart d’entre vous voient la philosophie comme quelque chose de ringard, inutile, ou au mieux « sympa deux minutes mais un peu ennuyeux. » Je ne vais donc pas trop développer ici, mais je continue de penser que notre monde manque cruellement de sagesse et de raison, et que réhabiliter comme il se doit la philosophie pourrait grandement aider à redresser un peu la barre…
+100% : AMHA, on a tous bien des choses à apprendre des grands maîtres si on garde l’esprit critique et l’ouverture d’esprit.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 11 mois par Hornagold.
+100% : AMHA, on a tous bien des choses à apprendre des grands maîtres si on garde l’esprit critique et l’ouverture d’esprit.
Il me semble aussi, mais dans notre société la sagesse, la raison et la prudence sont plutôt méprisés au profit de l’extravagance, du clash et de l’instantanné… Ce serait bien de trouver un juste milieu imo car sinon j’ai bien peur qu’on aille au devant de sacrés problèmes…
vivement le prochaine épisode les choses sérieuse commence , en passant ton setup de grind ressemble étrangement au mien
Ça me semble important de parler du rouleau de sopalin, parce que c’est le seul élément qu’on retrouve sur les 2 photos donc il doit tenir une place importante dans cette époque de ta vie.
Plus sérieusement c’est très bien écrit et agréable à lire. Vivement la suite, merci !
- Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 11 mois par renard.
Ça me semble important de parler du rouleau de sopalin, parce que c’est le seul élément qu’on retrouve sur les 2 photos donc il doit tenir une place importante dans cette époque de ta vie. Plus sérieusement c’est très bien écrit et agréable à lire. Vivement la suite, merci !
j’ai un doute Renard, je me demande s’il n’y a pas le cutter jaune sur le bureau
650€/mois… Wow, la vie à Paris semble bien dur.
L’ampli branche sur la table te servait d’enceinte pour le PC ? Marrant ^^
650€/mois… Wow, la vie à Paris semble bien dur.
Oula bah c’était y a 10 ans, maitenant mon studio de l’époque doit se louer entre 800 et 900€ easy… Le prix des loyers c’est totalement n’imp’ à Paris!
L’ampli branche sur la table te servait d’enceinte pour le PC ?
Haha yep bien vu! Peu après ma chérie m’a offert des enceintes pour Noël et c’était quand même plus pratique!
-
AuteurMessages
Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.