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, le il y a 10 années et 1 mois.
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J’ai pris l’habitude depuis peu de parfois écrire après une séance de méditation.
S’il me semble que cet écrit, ou une partie de ce dernier, peut être utile à d’autres que moi, je les glisserais ici.
N’hésitez pas à faire de même.
Et si le principe n’était pas « d’atterrir », mais juste d’accepter cette distance que le moment nous impose avec lui même. Par exemple, j’ai voulu « voir ce qu’il y a derrière l’ennui”; mais il s’agît peut être plus d’accepter cet ennui de vouloir lui laisser une place. Un peu comme renoncer à cette idée d’un bien être par delà cet ennui, comme une justification qu’il y a autre chose. Je remue un peu de la compote là, mais en gros la clef est sans doute dans cet ennui lui même.
A mes yeux, c’est un luxe de pouvoir s’ennuyer.
« La solitude, la monotonie provoquent un sentiment de morcellement et de lenteur de la vie qui passe, une impression de lassitude, d’inutilité et de vide. Mais, l’ennui est aussi ce qui favorise la créativité, développe l’imaginaire et produit de la pensée humaine. Si trop s’ennuyer peut conduire à la dépression, ne jamais le faire peut amener à la médiocrité. C’est très tôt qu’il faut apprendre aux enfants, non à fuir l’ennui, mais à savoir le gérer : il apparaît essentiel de les habituer aussi à ne rien faire et à rêver, sans pour autant les laisser se perdre dans le vide de leur pensée. »
Pas mal ce p’tit passage. J’y ajouterai que maîtriser son ennui c’est ne pas céder au couple terrible qu’est la dépression-consommation.
R0mzz said
A mes yeux, c’est un luxe de pouvoir s’ennuyer.« La solitude, la monotonie provoquent un sentiment de morcellement et de lenteur de la vie qui passe, une impression de lassitude, d’inutilité et de vide. Mais, l’ennui est aussi ce qui favorise la créativité, développe l’imaginaire et produit de la pensée humaine. Si trop s’ennuyer peut conduire à la dépression, ne jamais le faire peut amener à la médiocrité. C’est très tôt qu’il faut apprendre aux enfants, non à fuir l’ennui, mais à savoir le gérer : il apparaît essentiel de les habituer aussi à ne rien faire et à rêver, sans pour autant les laisser se perdre dans le vide de leur pensée. »
Pas mal ce p’tit passage. J’y ajouterai que maîtriser son ennui c’est ne pas céder au couple terrible qu’est la dépression-consommation.
Complètement sur le fait que pouvoir s’ennuyer est un luxe !
on est par contre souvent désespéré par cet ennui par qu’on nous martèle tous les jours que ce n’est pas bon, que nous n’avons pas de temps à perdre, qu’il faut être sans cesse productif…
je te rejoins à 100% pr les enfants, ne pas les sur-stimuler, les laisser découvrir les choses par eux même, et les laisser s’ennuyer de temps à autres…le tout comme toujours étant de trouver le bon équilibre
R0mzz said
A mes yeux, c’est un luxe de pouvoir s’ennuyer.« La solitude, la monotonie provoquent un sentiment de morcellement et de lenteur de la vie qui passe, une impression de lassitude, d’inutilité et de vide. Mais, l’ennui est aussi ce qui favorise la créativité, développe l’imaginaire et produit de la pensée humaine. Si trop s’ennuyer peut conduire à la dépression, ne jamais le faire peut amener à la médiocrité. C’est très tôt qu’il faut apprendre aux enfants, non à fuir l’ennui, mais à savoir le gérer : il apparaît essentiel de les habituer aussi à ne rien faire et à rêver, sans pour autant les laisser se perdre dans le vide de leur pensée. »
Pas mal ce p’tit passage. J’y ajouterai que maîtriser son ennui c’est ne pas céder au couple terrible qu’est la dépression-consommation.
J’aime beaucoup ce petit passage! C’est tiré d’où?
http://www.lien-social.com/spip.php?article2970
tiré du livre « S’ennuyer, quel bonheur ! » de Patrick Lemoine
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