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Bonjour,
EDIT : 29.3.2024
Après une lecture du post, j’ai semblé intéressant de modifier mon sujet.
J’ai toujours appris à faire les choses jusqu’au bout, et pour m’initier, le poker m’a donné du fil à retordre et je suis longtemps resté récréatif, bien que je ne le sois pas beaucoup moins aujourd’hui. Et ce jeu me passionne, au tant par sa forme (les règles, les aspects mental, les personnages qu’on rencontre souvent aussi au détour d’une table), que par sa technique (et là attention, c’est la grosse partie redoutable d’une passion et d’un travail) sauf qu’à l’heure actuelle, j’aimerai revenir sur ce que j’appelle « une nuit en enfer » avec un run hors budget.
Parce que le mental a été non cerné par des attitudes ni des aptitudes, et la confiance n’a rien à voir là dedans, j’ai augmenté les buy-ins pour ne plus redescendre. Et ceci est mon témoignage. J’aimerai donc vous présenter un de mes échecs au poker, dont je me suis relevé petit à petit, même s’il est très dur encore aujourd’hui de faire preuves de recul sur la situation.
J’étais gros client de top of the poke, une émission certainement culte et pas inintéressante bien au contraire. Seulement, à raison d’écouter les stratégies et le thinking process, j’ai délaissé le travail hors des tables pour uniquement focus.
Pendant de longues années suite à un jeu récréatif et surtout, passionné. Je veux dire par là que j’ai essayé de miser sur le fait qu’on puisse apprendre, et plus encore, avec 2 cartes en mains. Les premiers Tilts m’ont un peu sonné et je dois dire que je suis resté quand même dans l’idée de favoriser l’expérience.
C’est une expérience avec le poker qui l’a rendu très difficile et ce que j’ai vécu atteint un seuil de difficultés très négatifs pour le mental puisque la BRM y est passé tout au tant.
N’étant pas décourager, ni déterminer à perdre, mais tout simplement rêveur, je suis resté au table un immense touriste. Etant personnellement en attente de s’affirmer, j’ai le regret aussi de ne pas avoir compris plutôt qu’il faut pouvoir travailler aussi sur l’émotions. Il n’y a pas que la partie du bluff qui joue sur les aspects de self control mais bien le jeu en lui même, à garder le sourire et un esprit concentrer, débloquer cette partie du mental pour s’assurer déjà d’être un joueur « avertit ».
J’ai fait une pause dans ma vie à 22 ans quand j’ai commencé le jeu de cartes du poker, et avec une abondante motivation je suis malheureusement passé par la case BROKE et cash-in. Je viens pas sur le forum jouer le rôle d’une psychologue, mais simplement partager une expérience de jeu « débutant » chez qui on peut se reconnaître.
J’ai joué des tirages comme 47s face à paire d’As en low buy-in, j’ai joué aussi des mains comme J10s en table expresso hors de ma bankroll. J’ai dépensé clairement mon argent pour le perdre sans rien gagner en maturité ni expériences bien trop souvent. Je ne poste pas les mains complètes, elles sont inintéressantes.
Je me suis pas rendu compte que mon budget et mon apprentissage liés par la passion était aussi en train de détruire un espoir, important pour qui veut faire face à son mental, de jouer respectivement les bonnes mains de départs avec les bonnes stratégies.
Ce sont des milliers d’euros en 5 ans de jeu. C’est une somme difficile à accepter de nos jours
J’ai un peu le sentiment de pas avoir compris la musique, fin de citation. J’ai privilégié payé des parties sans retour, dans l’objectif de jouer uniquement et de valoriser un mindset de champion. Enorme erreur de ma part !
Je ne suis pas lapour raconter mes mains mais une historique bataille de remises en question et des mauvais games. Car ce travail m’a concerté et m’a plus, en somme dans ma réflexion.
Une logique donc indfénie pour vous déstabiliser, et le travail que j’applique en dehors des tables aujourd’hui est moins qualitatif car il représente aussi un mauvais départ. Et ca joue beaucoup sur le mindset ! C’est finalement très difficile d’aller vers un jeu avec un A game. Parce que récréatif, signifie aussi qu’on a une manière personnelle de s’investir, et l’ardoise pèse.
Les rooms s’adaptent très bien à ce problème du joueur qui cash-in puis broke avec des outils évolués. Derrière ça peut aussi se sacher une addiction mais ce n’est pas mon cas.
Conclusion : derrière l’addicition de vouloir rendre des cartes pour progresser, ce fut à mes risques et périls.
Voici le bilan :
-manque de confiance augmenté
-préparation des tables avec un niveau affaiblit
-objectifs sans être « valorisant » ni « rentabiliser »
-le mental s’accroit mais tend à une positiion difficile à être retravailler
-manque de relativiser
-le tilt est parfois plus important qu’on ne le croit
Psychologiquement c’est ce choc la, difficile à décrire. Avec le recul en prime. Voilà quelques aspects qui m’ont aidé :
-Réorganiser mes sessions
-Prendre du recul aussi sur le travail pendant les sessions du jeu hors table
-Résoudre les énigmes du mental par étapes : focus mindset en parallèles (allonger les temps de pauses entre les sessions en semaines, ect..)
-Ne pas rattraper les erreurs du passé et vouloir se refaire
-Gérer son accompagnement poker (contenu, ect…) avec le travail en dehors des tables uniquement !
Un jour vous pensez pas aux solutions devant vous alors vous récupérez des lacunes, une mauvaise interprétation même du A-game.
Alors avec votre indulgence, merci de m’avoir lu. C’est un regard sur le poker qu’on retrouve largement près des belles tables, c’est aussi la que j’ai oublié quelqu’un…
Je me suis soigné par une remise en question, et un travail hors table est toujours passionnant.
A.
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Ce sujet a été modifié le il y a 6 mois et 1 semaine par
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Ce sujet a été modifié le il y a 6 mois et 1 semaine par
Je crois avoir lu déjà des témoignages sur kill tilt. A bon entendeur.
Simplement pour vous avouer que c’était important de lire, de penser à travers ce message, sans rester dans un doute car exactement je pense comme vous. Aujourd’hui le respect veut que je réapprenne mon jeu. Et ma discipline à croire si je veux jouer plus hard dans les limites données
Et pour l’énigme, non, un voyage dans un jeu video comme ubisoft fait la cuisine pour être et rester bienveillant, je n’y crois pas la musique car c’est une question d’argent.
Cordialement
Je parle en état, ce qu’il en reste, d’être passer par deux ans oû j’ai pas investit j’ai appris de mes erreurs avec un 13eme mois de perdu.
C’est un état d’esprit différent.
On a toujours des défauts d’interprétation, et la c’est une ambiguïté.
Bonjour,
j’ai écrit à chaud le premier post, et après relecture, je vais en votre sens. Je me suis adapté et j’ai fait un edit. J’espère que vous comprendrez que la démarche m’a beaucoup aidé à tirer meilleur de la situation, en prenant le droit de s’exprimer.
Aujourd’hui je vous souhaite d’aller bien, et d’augmenter votre précision et travail du recul en dehors des tables plus qu’il ne le faut pour faire des crush.
Bonne continuation
Bonsoir
Je n’ai pas entendu ton message mad men d’une oreille positive. L’addiction est délicat comme sujet, il n’y a pas les rooms uniquement responsables.
Et si tu sous entends que le jeu est difficile pour les débutants, oui, mais ça a été signaler par des joueurs comme shishi ou peanuts qui répondent toujours par le conseil… de jouer dans ses moyens.
J’ai découvert le contenu pédagogique bien après le jeu où j’ai très peu de techniques.
C’est à chacun de s’adapter et de fournir le travail pour progresser.
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Ce sujet a été modifié le il y a 6 mois et 1 semaine par
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