- Ce sujet contient 40 réponses, 14 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
robauxa, le il y a 10 années et 8 mois.
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Cela fait quoi? Une semaine, peut être deux. J’ai manqué une journée mais depuis au moins trois jours je médite chaque jour. J’ai d’ailleurs rajouter une « médiation post-session », inspiré par les post-session poker de pe4nuts. Pour l’instant c’est léger, mais je sens que j’avance dans une voie que je me permets de croire bonne.
Je suis très limité financièrement, donc je ne peux pas m’acheter des livres sur le sujet. De ce manque naît peut être la proposition que je vais vous faire.
Ce serait simplement de créer un thread (celui ci donc) ou on exprimerais nos difficultés.
Alors je sais que les difficultés peuvent être intimes, et le but n’est certainement pas de faire un déballage narcissique.
Difficulté n’est certainement pas le bon mot.
Sur le modèle des lecons de pleine conscience de John Kabat-Zinn ce serait exprimer des pensées. Sauf que les pensées ne serait pas des ouvertures maîtrisées comme on les trouve chez Kabat-Zinn, mais des interrogations.
Je pourrais tenter une nouvelle fois, mais je ne saurais pas mieux dire.
Â
A chaque pensée, difficulté, reflexion, chacun pourrait intervenir, partager, conseiller sur la base de son expérience personnelle.
Je n’ai que très peu d’expérience, et cette idée est peut être mauvaise. Peut-être ne trouvera t’elle pas d’echo.
Néanmoins je ma lance. Et donc voici ma première « difficulté »:
Â
Qu’il est difficile de « ramener » sa pensée à son souflle, plûtot que de la « forcer ».
Pe4nuts said
Ouaip super idée, je renomme du coup le topic en « Difficultés pour la méditation » si tu es ok?
Â
Ok pour changer le titre. Mais je me dis que difficulté serait trop réducteur. Peut être aura t’on avec le temps envie de livrer des pensées, des reflexions et pas seulement des difficulté. Après je vois peut être trop haut là , donc je te fais confiance et te laisse choisir le titre. Si une autre idée me vient en tête je te la proposerais. En tout cas cool que ça te plaise.
Â
Pour mon cas, ça m’a pris environ 3 mois de réussir à ramener avec succès, et très souvent, mon attention sur mon souffle. Les 3 premiers mois c’était l’enfer, des pensées jaillissaient dans tous les sens, et chaque pensée en déclenchait une autre, puis une autre, puis une autre, et je n’arrivais pas du tout à fixer mon attention sur mon souffle, ou mon corps, ni à observer mes pensées ou mes émotions comme des « choses neutres ».Â
Â
Je me reconnais bien là Â
 J’ajouterais « chaque pensée en déclenchait une autre, puis un jugement, qui a son tour déclenchais une censure, puis……. STOP respire,… puis
Â
Comme disait à peu près Marc Aurèle à propos d’une attitude méditative: Le fruit est amer, arrête de le manger, le chemin est parsemé de ronces, contourne le. Mais ne rajoute pas en plus dans ta tête « comment des choses aussi désagréables peuvent-elles exister dans ce monde? ».
Â
lol
Â
Je suppose que vous comprenez pourquoi j’aime autant la méditation, et à quel point ça peut aider au poker: quand on se prend un bad beat, si on arrive à l’accepter immédiatement sans créer des pensées / attitudes / émotions négatives, on passe de suite à autre chose et notre A-game reste intact!Â
Â
Je comprends et j’essaye de ne pas attendre de résultat
Merci pour ces éclaircissements
, je les ai lus. Je vais les relire ce soir. Et demain au réveil.
Merci z3n3ric (téléchargéÂ
)
Â
L’idée du thread c’est aussi que chacun y aille de sa petite pensée, réflexion et/ou difficulté du moment par rapport à la méditation. Si tu pratiques n’hésites pas à venir avec cette intention. Puis qu’on échange dessus.Â
De la prétention ? Je n’espère pas. Une intention ? Peut-être de trop. Après avoir relu la troisième leçon des 108 de Kabat-Zinn j’ai voulu associer « pleine conscience » et « plein cœur ». M’est venu que « pleine conscience » était trop enfermé, Il en est de même de « plein cœur ». Mais comme une pierre qui ricoche sur un lac. Le premier rebond est pleine conscience. Le second rebond lui répond plein cœur. Là se trouve une ouverture ; peut-être ?
Questions sur l’efficacité de la régularité dans un premier temps
Â
Je me la pose car avant cet instant j’avais zappé deux jours.
Je vais d’abord en explorer les raisons.
Â
Il m’est pour l’instant impossible de méditer sans attendre un bénéfice personnel. De ce que j’ai lu sur le sujet, le bénéfice personnel, est comme la mise de protection au poker
, une conséquence, pas une cause. Mais quand on commence la foi sans destinataire est bien floue. Je la comprends intellectuellement très bien, mais de la à la ressentir, il y a un pas dans lequel mon intention se faufile, et bien involontairement, en détruit le sens profond.
Même intellectuellement la foi sans destinataire (pas la foi en un dieu, en l’humanité, en… la foi point) conserve à bon escient j’imagine sa part d’inaccessibilité. Et au fond seul ce qui est universelle en nous peut être un réceptacle à cet étrange objet, appelé dans un raccourci trop facile à mon gout par Kabat-Zinn l' »acte d’amour inconditionnel ».Â
Pour revenir à mes moutons, et pour ceux qui on eut le courage de dépasser le galimatias trop approximatif précédent, le bénéfice personnel reste là . Parfois caché, mais il rode. Et certains matins ou on a du mal à voir une finalité, une direction, j’imagine que je doute de l’apport de la méditation ou tout du moins de son immédiateté. Et l’acte devient alors forcé.
Â
Et j’ai l’impression, du haut de mon immense expérience de: aller, 8 séance et demi en moyenne de 5 minutes , que c’est la pire des choses.
Â
Impression renforcée par la séance que je viens de faire. Juste avant de la commencer des pensées négatives on forcé leur entrée.
Pour la première fois j’ai moins essayé de leur résister. Pour la première fois j’ai su leur laisser une place. Pour la première fois je ne les ais pas jugés.
Je ne me suis ni dit à quoi bon méditer, ni il faut d’autant plus méditer. J’ai juste suivi mon intention initial qui était de méditer.Â
J’ai tenu trois minutes. Mais ces trois minutes ont été nouvelle pour moi. J’ai pu porter mon attention sur mon souffle sans avoir à observer/influer ma respiration. Je n’ai pas su laisser une place à mes pensées, mais j’ai su laisser la place au moi qui jugeait ces pensées (« Essayes de ne pas penser », « Ah tu vois encore le verre à moitié vide », …).
Â
Et je ne suis pas sûr que j’y serais arrivé si vite (ou tout du moins je crois) si j’avais forcé la régularité.
Â
Alors je ne doute pas de l’apport de la régularité. De se donner l’opportunité de voir les minuscules changements qui s’opèrent chaque jour, au fil des humeurs, et de l’expérience. Ni même qu’au delà d’elle même elle permet l’habitude, nécessaire à la pratique sur le long terme.
Â
Au fond ce que je me demande, c’est:
Est ce que la régularité n’est pas comme le reste? Ne faut il pas elle aussi lui laisser le temps de s’inviter?Â
Je serais heureux, si vous avez eu le courage de me lire jusque là d’avoir vos avis sur la question.
Â
Merci d’avance.
Les raisons de s’asseoir.
Fort de mon expérience de méditation collective j’ai une raison de m’asseoir qui me convient très bien. Majoritairement je m’assoie (pas tous les jours mais déjà plus souvent qu’avant
) pour « me dire bonjour ». Cette raison est simple, elle parle à l’imaginaire sans pour autant l’enfermer. Peut être est elle pauvre dans l’absolu, peut être même n’est elle pas suffisante (en supposant que cette notion existe dans la méditation
), mais pour moi, là ou j’en suis, elle me plaît bien.
Mais voilà . Des fois on ne s’est pas assis depuis un petit temps. Et on décide de le faire. On se donne un moment pour le faire, et avant ce petit mouvement forcé un imprévu peut se glisser. Quelque chose qui te fâche par exemple. Bref une chose qui fait que la volonté de s’asseoir s’est empreinte d’une intention; sans que tu te l’avoues une attente s’est glissée dans l’échiquier. Et ce qui devait être un espace pour toi, devient un laps de temps un espace pour régler un compte avec l’empreinte qu’un autre a laissé sur toi.
Un espace pour démêler une culpabilité, une colère, … bref une émotion.
Et alors un enjeux vient s’inviter. Porter son attention n’est pas accessible un temps. Il faut le vouloir. Et j’ai bien compris que l’enjeux dans la méditation n’est pas le vouloir, loin de là . Il est même le contraire, en supposant que j’y ai compris quelque chose
.
Par exemple j’ai replacé mes épaules – avant de réaliser qu’il me suffisait d’observer cette tension. C’est un exemple il y en a beaucoup d’autres.
Â
Tout ceci m’amène à une simple question. Avant de méditer doit on pouvoir laisser un espace au vide (mots foireux mais quand on parle de méditation ils sont bien difficiles à trouver), ou peut on se faire confiance, et se laisser faire le travail nécessaire?
Si quelqu’un a compris (sans doute pas clair – désolé) et qu’il a une/des pistes qu’il n’hésite pas.
Pas évident à expliquer.
Au début de l’histoire il y a le moi et … le moi. Non pas de blague.
Il y a celui qui te cause te dis que, te fais penser que, …
Et il y a l’autre. Celui quand tu penses pas. Ça nous arrive à tous de temps en temps. Juste se poser.
Â
Et les deux ont leur volonté. J’explique sans doute très mal, mais je suis sur que pe4nuts pourra passer par ici pour démêler les fils
Â
En gros (très gros même) je me demande lequel des deux doit me mettre dans un « état propre à la méditation ». Je mets des guillemets tant la notion d' »état propre » me parait un non sens par rapport à la méditation.
Â
Bref sensei de la méditation
tok tok tok
 besoin de toi sur ce coup
R0mzz said
Ce que je comprends dans ton post Dryas c’est la différence entre le « moi » conscient et le »moi » inconscient. Le « moi » conscient c’est celui qui te dis:  » tu es fatigué tu devrais t’asseoir » tandis qu’avec le « moi » inconscient tu t’assois sans connaitre la raison (raison sur laquelle tu peux te questionner ou pas).ÂSi tu inverses les emplois on serait presque d’accord. La méditation (de ce que j’en comprends encore une fois) te permets d’accéder à la conscience. Pour reprendre Tollé d’arrêter l’identification avec le mental.
Mais voilà ce n’est pas si simple en tout cas au début. Je vais me retrouver encore une fois avec des mots qui ne correspondent pas à ce que je pense mais impossible de m’en sortir autrement. Notamment je vais parler de « vraie »
 conscience.
Le « but »
étant d’accéder à sa « vraie »
 conscience.
La question que je me pose c’est si on est contrarié, vaut’il mieux faire confiance à sa « varie conscience », tout en sachant qu’elle sera plus difficilement accessible (dans un premier temps tout au moins). Ou dans ce cas vaut il mieux laisser passer un peu de temps, s’aider de sa « fausse »
 conscience, pour une fois calmé, enfin se lancer.
Â
edit: ce qui est terrible avec la méditation, c’est que plus on essaye de préciser sa pensée (plus on vire les métaphores), plus on s’éloigne de ce que l’on pense. Vraiment pas évidant d’en causer, en fait.
Aujourd’hui méditation collective. J’irais post dans le topic correspondant mais là je viens pour relater un truc qui m’es arrivé. Une grande première pour moi.
J’hésites presque à activer le mode brag là , mais bon on parle méditation alors je vais me retenir.
Â
En deux mots méditer c’est quoi (enfin à mon niveau hein):
 ->Prendre un moment pour s’asseoir et se laisser être en ramenant juste son attention à la respiration quand notre esprit vaque.
Â
Donc ça donne quoi: la petite voix dans notre tête (en tout cas dans la mienne) va dire un truc commeÂ
« ah tu penses ça? ok maintenant soit à l’écoute de ta respiration »
Â
Et là tout à l’heure il m’es arrivé un truc. Je pensais à je ne sais plus quelle connerie et je me suis retrouvé à porter mon attention sur ma respiration. En bref je ne suis pas passé par la case « petite voix qui me donne un bon conseil ».
Et là un embryon de félicité m’es tombé sur le coin de la gueule. Ce n’étais pas genre « Ah putain je suis trop jouasse j’ai réussis à  arrêter de penser sans avoir à penser » – Nop – c’était de la félicité. Alors c’était tout petit – infime même.
Mais j’ai eu j’imagine un sourire béat (et pas bêta) sur la gueule. Et même si petit c’était jouissif.
Â
Alors point d’emballement – c’est un bonus. Ne jamais chercher à obtenir cela. Que la pensée donne de bon conseil est une bonne chose. Du moins je pense.
oups je vais te surnommer rantanplan…
Â
En effet les choix de mots sont très mauvais, et remontent à bien longtemps.
Â
En tt cas merci pour ta réponse éclairante, et ces petits rappels approprié.
Hésites pas à l’occaz à passer sur le thread « méditation collective » plus à jour celui là , et avec des concepts qui sont pour bcp encore brumeux.
Â
@sharkcosy, entre ton pseudo et ta référenceJuste un petit conseil hérité de pe4nuts, choppe toi si tu en as l’occasion « Méditer au quotidien »
Là au Tollé est plus une invitation à reflexion, celui ci est plus pratique tout en oubliant pas l’essentiel.
Bon courage dans ta découverte
tkt je parlais pas politique c’était plus sarko + napoleon qui était bien délire
Â
ceci dit pour faire tilter sur les tables, très bon choix
Aujourd’hui j’ai méditer seul. Hier soir aussi d’ailleurs.
Â
Pour cause de séminaire(trop chère pour moi) les méditations collectives marquent une pause de deux semaines. Le manque, ou la peur de ce-dernier, m’amène à  m’asseoir.
Â
Aujourd’hui j’ai expérimenté, enfin entraperçu pour être exact, la puissance de la respiration. Pendant un instant j’ai vu un univers derrière une expiration. Une puissance que je ne soupçonnais pas.
le commodore said
« – difficulté a me concentrer sur ma respiration, j’ai l’impression d’avoir tendance à respirer activement plutot qu’a observer ma respiration »
La méditation c’est trouver le délicat équilibre entre exigence et accepter ce qui est tel que c’est. Exigence sur notre respiration, pour la laisser simple et lui accorder une part de notre attention notamment sur l’expir; et exigence sur notre posture que celle ci soit le plus naturel (rien n’es plus naturel de s’asseoir et de se tenir droit, après des années de pratique inverse peuvent dans un premier rendre le naturel pas évident) et le plus digne que l’on puisse, et la aussi accorder une part de notre attention pour laisser cette posture rester et qu’elle ne s’écroule pas.
MAIS au dela de cette exigence qu’il convient d’avoir, il faut accepter ce qui est tel que c’est. La méditation est un des rares moment de la journée ou on laisse être. Ou on ne « doit pas faire ». La notion d’objectif est presque contradictoire. Presque car les exigences nommées au dessus reste là .
Si ta respiration est trop « active » accepte qu’elle le soit
et plutôt que de vouloir autre chose regarde la sans la juger telle qu’elle est.
« – parfois l’impression de somnoler/ que le temps passe vite : je ne pense pas m’endormirÂ
, mais est ce un signe plutot « negatif » de manque de concentration, ou un signe plutot « positif » de lacher prise des pensées compulsives. Etant de la méditation « pleine conscience »….. »
C’est un souci (j’ai eu/ai le même) dans l’absolu, mais une réalité maintenant. Peut être es tu fatigué d’une manière générale. Peut être n’es tu pas bien réveillé quand tu pratiques? Quoi qu’il en soit change tes conditions de pratique (différends horaires, mieux dormir avant) si tu le peux, mais sinon accepte cette somnolence. Quand tu médites tu ne dois pas être ci ou ça. Tu dois être ce que tu es maintenant. Si somnolence il y a elle est là .
« – plus anecdotique, mais je ressens souvent en début de méditation des tremblements de paupières (des sortes de myoclonies). »
Perso je pratique les yeux entre ouvert. le regard posé à 1,5-2m de moi sur le sol. Le regard dans le vague je ne regarde pas un point, je le laisse juste tomber à 1m50 devant. De face si quel qu’un me regardait de face on ne voit pas vraiment mes yeux qui sont de face recouvert par mes paupière.
C’est une tradition de pratique, la raison est de ne pas se priver d’un des sens. Quand tu médites tu ne te bouches pas les oreilles par exemple. Et aussi et surtout de ne pas se retourner vers soi. De laisser le monde extérieur présent, et d’être présent avec lui, plutôt que présent sans lui.
tu peux essayer ca résoudra ton problème.
J’espère que ces quelques remarques t’aident. Si tu as besoin d’un éclaircissement n’hésites pasÂ
Bonne pratique
doge.design said
J’ai déjà eu le problème de somnolences, c’est fréquent lorsque mon corps est fatigué, j’évite simplement de méditer lorsque la somnolence est trop forte, sinon je la « combat »en parlant de tout ca j’ai trouvé une combine assez sympa pour m’aider a la concentration. J’ai récupéré un casque anti bruit.
Je n’entends plus la télé venant du salon et surtout on a la sensation de crée un « circuit fermé » dans notre esprit. La concentration est très rapide comme ca
Tu ne peux pas éteindre la télé? question simple no jugement.
« Créer un circuit fermé », mis en rapport avec l’enseignement que je recois me pose un souci. Si on s’autorise le mot but, il n’es pas de se couper du monde, mais de s’accepter DANS ce dernier. Du moins il me semble.
Comme je l’explique au dessus jentre ouvre aussi les yeux quand je pratique
« je la combat » pour moi ca, mais il me semble pour toute les formes de méditation c’est problématique. On accepte, on ne combat pas. Parfois dans le cadre de certains exercices on se donne volontairement des pensées mais jamais on combat.
La méditation est une pratique qui est à l’opposé de toute volonté. La violence se trouve parfois dans ce que l’on vit quand on pratique mais n’ai jamais recherchée.
Pourquoi n’essayes tu pas de laisser être cette somnolence sans la juger?
cabel said
Moi c’est plutôt le contraire, j’ai l’impression que le temps passe pas vite (surtout avant une session !)Sinon sur la respiration, c’est un peu comme toi, j’ai l’impression de respirer plus fort et plus vite.
il y a une qualité, un gout de l’ennui. l’expression est malheureuse mais accepter cet ennui pour ce qu’il est, avoir un regard presque affectueux pour lui est je crois très enrichissant. Imagine le bénéfice de ce regard sur les tables de pok quand de manière répétées tu n’as pas de cartes et les boards sont degueu
cabel said
Moi c’est plutôt le contraire, j’ai l’impression que le temps passe pas vite (surtout avant une session !)Sinon sur la respiration, c’est un peu comme toi, j’ai l’impression de respirer plus fort et plus vite.
bug de double post si quel qu’un peut supprimer celui la se serait cool (sick je peux déplacer des posts, les assigner a d’autres faire plein de truc funky mais du coup je peux plus supprimer les miens
)
« de laisser être cette somnolence sans la juger est » et « appliquez votre Attention à l’état de somnolence lui même […] Cette vigilance investigatrice est l’opposé direct de la somnolence et la fera s’évaporer » ne sont pas si différend
en gros c’est vraiment pas entré en guerre contre. Mais la regarder pour ce qu’elle est. Elle prendra le dessus des fois, parfois tu t’endormiras. Et quoi! même si tu t’endors tu te reveilleras nn? et à ce moment là ton expérience sera peut être/sans doute très différente.
Il faut être exigeant, mais pour chaque degrè d’exigence que l’on mets il est bien de mettre autant si ce n’es plus de tolérance. Envers les autres mais aussi et surtout envers soi même. Tu, je ne sera(i)s pas le parfait méditant. Pas de suite mais jamais. Ta route est ta route. Et si elle passe par un peu de somnolence elle passe par un peu de somnolence. Avec l temps je te garantis que parfois elle disparaitre, d’autres fois elle reviendra.Â
Mais dans ce que je disais et dans ce que Henepola dit (je me compare pas du tout à lui hein lol) il y a une notion en commun essentiel: le non jugement.
laisser être n’es pas passif loin de lÃ
ps: pour la télé si tu peux bien sur, imo trouve un autre moment de la journée
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